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TÉMOIGNAGES

LE REGARD DES PATIENTS

 

Pyélonéphrites à répétition chez une enfant de huit ans.

"Sur les conseils d'une amie, j'ai emmené ma fille consulter un étiopathe. Depuis plusieurs années Laetitia était hospitalisée deux à trois fois par an pour des infections urinaires à Escherichia Coli récurrentes, qui imposaient à chaque fois une antibiothérapie prolongée. Plusieurs traitements étiopathiques exclusivement à visée abdominale ont été nécessaires pour faire régresser la fréquence des infections. Aujourd'hui, avec un recul de 18 mois, les néphrologues admettent que ma fille est guérie.

LAETITIA G.
8 ANS (SA MÈRE)

A été opéré d'une hernie discale lombaire après de nombreux traitements anti inflammatoires, antalgiques et myorelaxants répétés, suivis de deux infiltrations, tout cela sans résultat tangible. Un séjour en centre de rééducation kinésithérapique pour sportifs n'a rien donné non plus.

« Trois traitements étiopathiques successifs m'ont permis reprendre mon activité sportive professionnelle. J’ai pu à nouveau suivre des entraînements intensifs et les matchs sans qu'aucune douleur ne revienne me gêner. Après de nombreux avis et traitements aussi variés qu'inefficaces, seule l'Étiopathie a pu me permettre de reprendre ma carrière de footballeur et d'éviter ainsi le reclassement professionnel que l'on m'avait prédit... »

KARIM K.
FOOTBALLEUR PROFESSIONNEL - 27 ANS

Douleurs des doigts et de la main gauche faisant croire à un syndrome du canal carpien chez un droitier.

« Je suis très reconnaissant à mon étiopathe de m'avoir pris en charge pour mes engourdissements, ma maladresse et perte de force de la main gauche. Ces troubles m'ont valu nombre de radios, d'I.R.M., d'électromyogrammes avec pour conclusion le diagnostic classique « standardisé » de syndrome du canal carpien. Ce diagnostic posé, je relevais donc de l'intervention chirurgicale. Trois séances d'Étiopathie m'ont permis de retrouver une main fonctionnelle un bras non douloureux et des cervicales mobiles ce qui m'a permis "d'échapper" à une intervention aussi inutile que risquée ».

GILBERT R.
78 ANS

Suite à un faux pas en randonnée pédestre, apparition de douleurs invalidantes de la cheville droite interdisant toute pratique sportive chez un professionnel d'éducation physique. De multiples consultations chez des médecins du sport, des rhumatologues, des chirurgiens orthopédiques aboutissent à la nécessité d'effectuer un blocage articulaire de la cheville par arthrodèse car cette arthrose sera évolutive.

« Six séances d'Étiopathie m'ont permis de recouvrer des mouvements de flexion-extension non douloureux de la cheville et du pied. À mon grand étonnement, mon étiopathe ne s'est pas contenté de traiter le pied mais également ma colonne lombaire ce qui a permis une évolution favorable et rapide après trois ans de galère médico-chirurgicale... encore merci je ressuscite ».

YVES T.

Stérilité post-traumatique.

« Enceinte de cinq mois j'ai perdu mon bébé à la suite d'un grave accident de la route ayant entraîné une rupture de la paroi utérine. Les gynécologues avaient déclaré à l'époque et après l'urgence de l'intervention réparatrice, qu'il était inutile pour moi d'envisager la possibilité d'une autre grossesse. Après quatre traitements étiopathiques successifs j'ai pu à nouveau être enceinte, et par la suite donner naissance à deux magnifiques enfants, un troisième est envisagé ! Merci à mon étiopathe ! ».

Tennis-elbow (épicondylite) du bras droit. A suivi depuis 2 ans le parcours habituel du sportif de haut niveau : médecin du sport, médecin officiel de la Fédération Française de Tennis, rhumatologue (infiltrations), kinésithérapeute (traitement par ondes de choc à l'INSEP) et enfin chirurgien.

« J'avoue avoir été consulter un étiopathe avec beaucoup de réticences compte tenu de mon long parcours à travers différentes thérapeutiques inefficaces. Son premier traitement ne m'avait apporté que peu de soulagement mais son analyse des symptômes et la logique de son raisonnement m'ont encouragé à réitérer deux fois le traitement. La régularisation de ma colonne cervicale a permis de guérir définitivement mon problème de tendinite de coude : je rejoue, je revis ».

BRUNO L.

Difficultés à la marche avec la jambe gauche, en particulier à la descente des escaliers ou dans les dénivelés un peu trop pentus. Une radiographie du bassin montre un très léger début d'arthrose de la hanche gauche. Les consultations rhumatologiques et chirurgicales concluent au diagnostic d'arthrose de hanche d'évolution rapide nécessitant dans un délai court la pose d'une prothèse de hanche.

« Un de mes amis ayant été soulagé par un étiopathe d'une douleur comparable à la mienne, celui-ci m'a vivement conseillé d'aller le consulter. Après un examen rapide de ma radio mais surtout de ma hanche et du trajet de ma douleur, sa conclusion a été formelle et surprenante : je ne souffrais pas de la hanche mais d'une cruralgie du côté gauche. Il lui a fallu deux séances successives à huit jours d’intervalle pour supprimer complètement à la fois cette douleur atroce de la cuisse et me permettre de remarcher normalement. Chapeau pour le coup d'œil et l'efficacité ! ».

ROGER R.

Souffre depuis deux ans de vertiges intermittents, survenus de façon aléatoire et sans cause évidente, ni O.R.L., ni neurologique. Une rééducation vestibulaire entreprise devant ces vertiges qualifiés de bénins et paroxystiques n'y a rien fait, tout comme les multiples traitements symptomatiques de cet état pseudo-ébrieux.

« En désespoir de cause j'ai dû faire appel sur les conseils incrédules de mon médecin traitant, aux services d'un étiopathe. Compte tenu des mises en garde de la médecine traditionnelle à propos des manipulations, et après quelques essais chez des ostéopathes brutaux, je suis allé « à reculons » consulter l'étiopathe. Bien m'en a pris puisqu'en trois séances de manipulations cervicales précises et indolores, j'ai vu disparaître définitivement mes vertiges et autres instabilités. Merci encore pour cette compétence ».

JACKY H.

Tendinite sous-rotulienne.

« Après 6 mois d'un long traitement de médecine traditionnelle, de repos et d'anti-inflammatoires, j'ai décidé d'aller voir pour la première fois un étiopathe, sans pour autant y croire vraiment. Au bout de 15 minutes seulement de traitement, je pouvais m'appuyer sur ma jambe et faire des mouvements d'entraînement. Diagnostic? juste une vertèbre coincée qu'il fallait « libérer ». Totalement convaincu, je travaille depuis avec la faculté d'Étiopathie de Bretagne qui suit nos joueurs de national. En 4 ans, le fait de voir régulièrement un étiopathe a permis de régler immédiatement les petits problèmes et d'éviter d'en avoir de gros durant les compétitions. L'Étiopathie a facilité notre progression dans un sport exigeant au niveau musculaire et articulaire afin d'être plus sereins dans la préparation de nos rencontres ».

MICHAËL E.
ENTRAÎNEUR - 32 ANS

Accident de la voie publique en 2010 avec traumatisme crânien et perte de connaissance ayant entraîné une hospitalisation pour surveillance. Le bilan radiologique et I.R.M. ne montrent pas de lésion intracrânienne (hématome). La patiente se plaint d'absences, de migraines et de vertiges. Les traitements successifs préconisés par le centre antidouleur ne la calment pas, l'ensemble des troubles est assimilé à un tableau dépressif qualifié de syndrome subjectif des traumatisés crâniens, et donc entraîne le renouvellement « ad libitum » de traitements antalgiques et antidépresseurs.

« Ce sont mes parents, soignés de longue date par un étiopathe, qui m'ont poussée à le consulter. Après avoir écouté mon histoire, celui-ci, curieusement, ne s'est pas attardé sur les conclusions de mes nombreux examens radiologiques et comptes rendus d'hospitalisation successifs. Il est allé directement à l'examen de ma colonne cervicale où il a immédiatement repéré des tensions et des points douloureux très précis. Son traitement a consisté à libérer ces tensions et permettre à nouveau à ma tête et à mon cou de retrouver une liberté de mouvement perdue depuis mon accident. Les conséquences furent quasiment immédiates, un soulagement de toutes mes douleurs s'en suivit et celui-ci perdure depuis ».

Souffre de brûlures de la langue, de saignements de gencives traités dans un premier temps sans résultat par des antifongiques. Dans un second temps, suite à une gastro-fibroscopie, une irritation inflammatoire de l'estomac et du duodénum associée à une hernie hiatale sont diagnostiquées. Un traitement classique par antiacide, pansement gastrique et antispasmodique s'en suit avec un résultat très aléatoire.

« Suivi d'ores et déjà par un étiopathe qui m'avait résolu un problème de douleurs et d'engourdissement de la jambe gauche en rapport avec une névralgie sciatique, c'est donc en toute confiance que j'ai évoqué mon problème digestif, lequel avait débuté à cause de ma sciatique au moment de la prise d'anti-inflammatoires. Après trois séances à intervalle croissant, il a réussi à supprimer mon reflux acide responsable des irritations de la langue et des gencives. Son action a porté essentiellement sur la suppression d'un spasme du pylore et du duodénum qui provoquait la « non vidange » des sécrétions de l'estomac et donc entretenait mon hyper acidité. J'ai bien entendu arrêté très rapidement toute la panoplie médicamenteuse prescrite. Cet épisode n'a fait que renforcer ma confiance dans l'efficacité de l'Étiopathie ».

NICOLAS C.
32 ANS

 

 

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